Saint-Eustache | Catégories : Villes
Saint-Eustache, dont les origines remontent à la fin du XVIIIe siècle, a été le théâtre d’un des épisodes marquants de la Rébellion de 1837, qui a opposé les Patriotes, conduits par Jean-Olivier Chénier, aux troupes de l’armée britannique du général Colborne. C’est aujourd’hui un centre historique animé en toutes saisons, avec son exceptionnel patrimoine bâti, ses nombreuses activités, son centre d’art La petite église, ses restaurants et ses boutiques.
De 1755 à 1762, le seigneur Dumont concéda 59 terres. Les premiers habitants venaient de Montréal et surtout de l'île Jésus, qui n'avait déjà plus de bonnes terres à concéder sur son pourtour dès 1760. Les terres distribuées le furent d'abord au nord et au sud de la rivière du Chêne et dans le secteur du Chicot.
Le premier moulin à farine de la seigneurie fut construit pour le seigneur Dumont par François Maisonneuve, de Sainte-Rose, sur les rives de la rivière du Chêne. La construction d’une première église entre 1780 et 1783, sur le site de l’église actuelle de Saint-Eustache, a joué un rôle déterminant dans la formation du village de Saint-Eustache avant 1800. Un premier noyau de population allait s’établir entre les deux pôles formés par le moulin à farine et la nouvelle église. Puis, peu à peu vinrent s’installer des artisans, des commerçants, des aubergistes, des notaires, des médecins. En 1825, le village de Saint-Eustache comptait 393 habitants. Globalement, la population de la seigneurie de la rivière du Chêne était de 2385 habitants lors du recensement de 1790.
En savoir plusSt-Joseph-du-Lac | Catégories : Villes
Saint-Joseph-du-Lac évolue au rythme de la croissance urbaine de la couronne nord de Montréal et regroupe plus de 6 500 résidents cohabitant entre les milieux semi-urbains et agricoles.
Érigée sur les collines de Saint-Joseph, à 600 pieds au-dessus du niveau de la mer, la municipalité de Saint-Joseph-du-Lac offre une vue panoramique exceptionnelle sur l’ensemble de la région. On peut d’ailleurs y contempler Montréal et une vingtaine de villages environnants avec leur clocher. Et ceux qui n’ont pas encore vu les vergers de Saint-Joseph-du-Lac en fleurs manquent un des plus beaux spectacles annuels de la nature. C’est d’ailleurs à Saint-Joseph-du-Lac que l’on retrouve le plus grand nombre de vergers de la région. Il faut l’admettre, « Le pays de la pomme » porte bien son nom.
Si l’activité économique s’est longtemps résumée presque uniquement à l’exploitation des vergers (commerce et cueillette libre), l’industrie telle que nous la connaissons aujourd’hui s’est considérablement diversifiée. En effet, depuis quelques années, les activités de deuxième transformation ont insufflé un vent de renouveau indispensable à la survie et à la productivité des vergers. Les produits dérivés de la pomme sont maintenant nombreux, et ce, au grand bonheur des palais les plus fins. La pomiculture est toujours au centre de l’industrie de Saint-Joseph-du-Lac, mais elle a su évoluer, s’adapter et se diversifier, en bonne partie grâce au dynamisme et à la créativité de la relève.
Dans les dernières années, d’autres produits dérivés de la terre ont aussi fait leur apparition et les gens peuvent notamment venir à Saint-Joseph-du-Lac pour cueillir leurs pommes, fraises, framboises, bleuets, pêches, poires et courges, pour déguster les produits de l’érable et faire un arrêt sur la route des vins.
Il va sans dire que Saint-Joseph-du-Lac saura charmer ses visiteurs à tout coup par son magnifique panorama, ses vergers à perte de vue et ses nombreux sites agrotouristiques. Saint-Joseph-du-Lac, une destination incontournable, toute l’année.
En savoir plusSt-Placide | Catégories : Villes
Une église face à un lac, quelques rues organisées autour de cette église, des maisons modestes… voilà un village typique du Québec. Saint-Placide correspond bien à cette description et, depuis plus de 150 ans, le cœur du village est resté sensiblement le même. Quant à l'arrière-pays, il a conservé depuis plus de 200 ans sa vocation agricole.
Saint-Placide est divisée en plusieurs petits secteurs qui portent les noms suivants : la Pointe-aux-Anglais, la Baie, le secteur des Épinettes, la Côte St-Jean, la Côte Saint-Vincent, la Côte Saint-Étienne, le noyau villageois, la Concession des Éboulis et la Pointe Masson.
L’histoire de Saint-Placide est toute simple, sans événements majeurs. La vie a suivi son cours depuis l’arrivée des premiers colons en 1780 jusqu’à aujourd’hui. Le « lac » a toujours été l’élément marquant du paysage. Et les Placidiens et Placidiennes lui ont toujours voué un grand attachement. La beauté des lieux est frappante.
En savoir plusOka | Catégories : Villes
Oka a une histoire profonde qui s'est déroulée dans un décor naturel d'une grande beauté. À sa fondation, en 1721, Oka porte le nom de Mission du Lac des Deux-Montagnes. À cette époque, les Sulpiciens et les soeurs de la Congrégation Notre-Dame sont chargés de faire l'évangélisation. Ils héritent de ce domaine et ont l'ordre du Roi d'acheminer les amérindiens sur ce territoire par un transport nocturne sur le lac des Deux-Montagnes et de les protéger contre les ennemis. D'où le sens de son nom: Mission du Lac des Deux-Montagnes. Par la suite, en 1881, parce que les gens du commerce trouvent le nom de Mission du Lac des Deux-Montagnes trop long, ils baptiseront la localité «Oka». Oka est le nom d'un vieil algonquin mort nonagénaire et dont la signification est "poisson doré". En 1874 a lieu l'érection civile de la Municipalité d'Oka. Son premier maire est Monsieur Sévère Joanette.
Oka est comme une bulle d'oxygène, un vent de fraîcheur. La municipalité est habitée par des gens fiers et travaillants. On y vit une solidarité de tous les jours. Roulez sur nos routes, découvrez nos paysages époustouflants, le respect constant de la terre et surtout des Okois et des Okoises qui croient en leur patrie, qui ont des espoirs et des rêves qui brillent dans leurs yeux.
En savoir plusBlainville | Catégories : Villes
Blainville
Située à mi-chemin entre la grande métropole et la belle région des Laurentides, Blainville sait se distinguer en offrant à ses citoyens une qualité de vie absolument exceptionnelle.
Blainville rayonne par sa vision audacieuse, ses services, sa qualité de vie et sa capacité à inspirer des centaines de familles qui choisissent de s’y établir. La municipalité a été l’une des premières à mettre de l’avant des projets résidentiels intégrés à des sites récréatifs. Pour les résidents, c’est en soi la garantie d’un environnement agréable où la détente et les loisirs occupent une place de choix.
Elle a été placée au 1er rang des meilleures villes québécoises où il fait bon vivre en 2019 selon le magazine L’actualité. Elle s’est hissée au sommet du palmarès grâce, entre autres, à sa santé économique, à sa démographie et au nombre de commodités.
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Boisbriand | Catégories : Villes
Située à la porte d’entrée de la région des Basses-Laurentides, Boisbriand est l’une des plus jeunes villes du Québec et compte sur une présence marquée d’aînés qui contribuent activement à son dynamisme. La Municipalité porte une attention particulière aux besoins de la famille et offre une panoplie d’activités communautaires, culturelles et sportives à ses près de 27 000 habitants.
Ville à caractère résidentiel, commercial et industriel, sa situation géographique privilégiée, au carrefour des autoroutes 13, 15 et 640, est un atout considérable. Récipiendaire de nombreuses prestigieuses distinctions et pionnière dans la protection de l’environnement, Boisbriand vous charmera par son offre de services, ses espaces verts, son Centre d’interprétation de la nature (CIN) et son accessibilité aux berges de la rivière des Mille Îles.
Boisbriand, une ville à proximité des grands centres où il fait bon vivre au rythme de nos vies!
En savoir plusBois-des-Filion | Catégories : Villes
Histoire de la Ville
Les citoyens de Bois-des-Filion s’établirent sur les concessions royales de deux grandes familles de seigneurs : les Celoron de Blainville et les Lepage de Sainte-Claire. Si vous êtes sur le pont et regardez au nord de Bois-des-Filion, votre gauche serait sur le fief de Jean-Baptiste Celoron de Blainville et votre droite celui de Louis Lepage de Sainte Claire, seigneur de Terrebonne. Notre hameau était situé aux confins des deux seigneuries et il y avait un sentier de division (aujourd’hui la Montée Gagnon).
Le premier Filion au pays était le descendant de Michel Feuillon, capitaine des mousquetaires du roi de France, Louis XIV, dit le Roi Soleil. Il est originaire du diocèse de Maillezais en Poitou en France. Le fils de Michel Feuillon et de Louise Bercier, Antoine Feuillon, menuisier de métier, immigra au Canada en 1684. Ne sachant ni lire ni écrire, il n’a pas pu corriger les manuscrits de l’époque où on avait écrit Filion au lieu de Feuillon, d’où l’origine du nom Filion. Antoine Feuillon dit Filion a reçu comme fief du seigneur Louis Lepage de Sainte-Claire de Terrebonne un bois d’érables situé aux confins de la seigneurie et au pied de la grande ligne de Sainte-Anne (Montée Gagnon). Ce bois d’érables acquit une popularité par le sentier qui le traversait, menant à la rivière où l’on pouvait passer à gué pour aller à la grande ville. On passait donc par le Bois de Filion.
En 1913, l’histoire de la paroisse débute à l’arrivée de l’abbé De Bray. On procède à la construction de la première chapelle sur le terrain (site de l’église actuelle). En 1925, on inaugure le pont Athanase-David et la ville est connue sous le nom de Saint-Maurice de Pont David.
En 1945, un groupe de propriétaires opte pour la formation d’une Association de citoyens. C’est le début de la mise en place de démarches pour l’incorporation de la ville.
En 1948, un groupe de citoyens, sous l’égide du curé Eugène Poirier, organise le premier Service des loisirs.
En 1949 a lieu l’incorporation du village de Saint-Maurice de Bois des Filion maintenant à la charge d’un maire et de conseillers. Le premier maire de Bois-des-Filion, Joseph Germain a été élu par acclamation. À cette époque, la population se compose de 342 familles permanentes et de 800 familles saisonnières qui reviennent au village durant la belle saison.
En 1955 s’élève dans le ciel une croix lumineuse, la deuxième en hauteur de la province, après celle du mont Royal. Elle a été érigée sur la colline dédiée à Notre-Dame de Bois-des-Filion, afin de marquer avec éclat le dixième anniversaire de l’Association des citoyens.
Le 27 octobre 1980, la municipalité du village de Bois-des-Filion a été constituée en municipalité de ville sous le nom de : Ville de Bois-des Filion. La réception officielle des lettres patentes a eu lieu le 7 novembre 1980.
Note :
Les faits relatés sont tirés du livre intitulé L’histoire de Bois-des Filion (1980), écrit par feu M. François Daoust, citoyen et historien de Bois des-Filion.
Deux-montagnes | Catégories : Villes
Le premier nom donné à Deux-Montagnes fut Saint-Eustache-sur-le-Lac. Fondée officiellement le 18 août 1921, cette municipalité comptait à l’époque une population de moins de 300 résidants permanents. C’est dans le quartier du Grand-Moulin que se sont installés les premiers habitants du lieu qui devait s’appeler, beaucoup plus tard, la ville de Deux-Montagnes.
La ville de Deux-Montagnes est ainsi nommée en 1963. On raconte que le toponyme Deux-Montagnes tirerait ses origines des deux montagnes que les coureurs des bois, les voyageurs et, avant eux, les Amérindiens, apercevaient sur la rive nord-ouest du lac après le portage de Sainte-Anne-de-Bellevue. L’une d’elle est la montagne du Calvaire et l’autre, sa jumelle, est la colline de Saint-Joseph-du-Lac.
Lachute | Catégories : Villes
Lachute : le coup de foudre, naturellement !
Lachute. Un jour, on la traverse par hasard ou l'on y vient pour son célèbre marché aux puces, qui réunit dans ses mardis de pointe jusqu'à 600 exposants, du brocanteur de qualité au producteur maraîcher. Fort possible aussi que l'on s'y arrête pour vivre une belle expérience sur son golf classé parmi les 10 plus beaux du Québec (www.golflachute.com). Voilà, c'est le coup de foudre. Cette ville-centre de la MRC d'Argenteuil séduit aussitôt par ses bâtiments ancestraux de style anglo-saxon, enchante par son patrimoine naturel remarquable. Sûr, on se promet de repasser.
Lachute. Quand on y revient pour flâner sur les terrasses animées de la rue Principale (www.centrevillelachute.com), forcément, on capte le pouls de sa population accueillante. On constate qu'ici, rien ne manque au quotidien. À Lachute, les commerces sont variés, les espaces verts sont généreux. On aime s'y promener, répondre à un sourire ici et là, errer au bord de la rivière et même, faire un tour d'avion depuis son aéroport. Voilà que rapidement, une relation s'installe avec cette ville.
Lachute. À la troisième visite, on est convaincu. En y cherchant son coin de paradis, on constate que l'activité immobilière connaît une croissance remarquable depuis plusieurs années. Les quartiers urbains, où il est possible de se loger à prix abordable, sont variés. On y déniche des maisons neuves, des terrains prêts à bâtir tant en ville qu'en milieu naturel, et aussi des maisons patrimoniales qui permettent de vivre dans un cadre champêtre en plein cœur de ville.
En plus des établissements de santé et d'enseignement auxquels les citoyens sont en droit de s'attendre, elle compte une diversité de commerces et de parcs industriels, des groupes communautaires et des loisirs variés.
Lachute. On la choisit comme ville à vivre, naturellement.
Texte de Madame Suzanne Séguin
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